Il a tout bien fait.
Qu’y a-t-il de plus difficile que de faire le bien que nous savons que nous devons faire ? Faire ce bien de manière constante, en tout temps, en tout lieu et dans toutes les conditions. Malgré nos bonnes résolutions, nous ne parvenons pas toujours à faire le bien que nous avons l’intention de faire.
L’apôtre des Gentils connaît bien l’efficacité de la grâce de Dieu dans sa vie : « Mais par la grâce de Dieu je suis ce que je suis, et sa grâce envers moi n’a pas été vaine » (1 Co 15, 10). Mais il fait aussi l’expérience de cette oscillation entre le bien et le mal : « Car je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux pas ». Puis il désigne Jésus-Christ comme la réponse à son oscillation entre le bien et le mal : « Qui me sauvera de ce corps de mort ? Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur » (Rom 7, 19.24).
L’expérience et les paroles de saint Paul nous font comprendre que nous ne sommes pas condamnés à une vie d’incohérence lorsqu’il s’agit de faire le bien et d’éviter le mal. En Jésus-Christ et par lui, nous avons accès à tout ce dont nous avons besoin pour être plus constants dans l’accomplissement du bien.
Après que Jésus eut guéri le sourd-muet (Mc 7, 31-37), la foule dit de lui : « Il a tout bien fait. » Jésus ne faisait pas seulement de bonnes choses. Il le faisait tout le temps. En bref, il était constant.
Derrière la constance de Jésus se cachent quatre choses que nous pouvons imiter pour devenir plus constants dans nos actions bienveillantes.
Jésus avait toujours en lui l’Esprit de bonté et il était conduit par cet Esprit. Il a décrit sa mission en ces termes : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, car il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres. Il m’a envoyé pour proclamer aux captifs la délivrance et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés… » (Lc 4, 18). Par la puissance de cet Esprit, aucune quantité de mal dans le monde ne pouvait empêcher notre Seigneur Jésus d’accomplir de bonnes et puissantes choses dans la vie des autres.
Nous avons aussi cet Esprit de bonté en nous dès le moment de notre baptême. Nous pouvons être plus constants dans le bien que nous faisons lorsque nous sommes nous aussi guidés et soutenus par l’Esprit : « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. » (Romains 8:14) Nous sommes plus inconstants dans nos actions lorsque nous sommes contrôlés par nos émotions ou nos préférences personnelles, lorsque nous sommes vaincus par nos peurs d’être rejetés ou lorsque nous aspirons à l’acceptation et à l’attention des autres. Nous ne pouvons pas non plus être constants lorsque nous dépendons uniquement de notre force ou de nos bonnes résolutions pour faire le bien.
Jésus a tout fait par amour et dépendance envers le Père. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il guérissait le jour du sabbat, il a répondu : « En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce qu’il fait, le Fils le fait pareillement. Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait lui-même. » (Jn 5, 19-20) Il a tout fait pour plaire au Père et dans une totale dépendance de lui. Il a été constant dans tout ce qu’il a fait pour nous parce qu’il a tout fait avant tout par amour pour le Père. Notre infidélité et notre manque de reconnaissance n’ont rien enlevé à sa bonté éternelle.
Nous pouvons aussi faire de bonnes choses par amour pour le Père, car nous avons été introduits gratuitement dans cette relation d’amour avec le Père : « L’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné. » (Romains 5, 5) Nous pouvons faire le bien pour plaire au Père et non pas en premier lieu à nous-mêmes ou aux autres. Nous devenons plus constants dans la bonté lorsque nous nous renonçons à nous-mêmes et faisons le bien pour l’amour de Celui qui nous a gratuitement mis en communion avec son Fils et nous a donné part à sa vie par grâce. Toute motivation autre que l’amour pour Dieu ne nous rendra que sporadique dans la bonté.
Jésus a utilisé tout ce qu’il avait pour faire le bien, jamais le mal. Jésus a employé tout ce qu’il avait pour rendre la parole et l’ouïe au sourd-muet. Il a utilisé son temps pour s’occuper de lui, il a utilisé ses mains pour l’éloigner de la foule, il a utilisé son doigt pour toucher ses oreilles, il a utilisé sa salive pour toucher sa langue, il a utilisé ses yeux pour lever les yeux vers le ciel, il a utilisé ses lèvres et sa voix pour prononcer les mots qui ont ouvert les oreilles de l’homme : « Ephphatha !
Nous ne faisons pas le bien de manière cohérente parce qu’il nous est très facile d’abuser des dons que Dieu nous a donnés. Nous les utilisons pour faire du mal aux autres et pour nos propres intérêts égoïstes qui n’ont rien à voir avec la volonté de Dieu. Nous ignorons le fait que Dieu nous a donné toutes ces choses pour ces raisons : « édifier les hommes, donner gloire à notre Père qui est dans les cieux » (Mt 5, 16) et « travailler à notre salut dans la crainte et le tremblement » (Ph 2, 12). En Jésus-Christ, nous aussi pouvons utiliser tout ce que nous avons pour faire le bien aux autres et jamais le mal.
Enfin, toutes les actions de Jésus étaient accompagnées d’une prière au Père. Avant d’ouvrir les oreilles du sourd-muet, on nous dit que « Jésus leva les yeux au ciel et gémit ». Il faisait toujours de bonnes choses parce qu’il était en communion constante avec le Père. Même son agonie sur la croix n’a pas pu l’empêcher de prier pour demander pardon à ses bourreaux : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Lc 23, 34).
Nous aussi, nous pouvons faire le bien avec constance lorsque nous nous efforçons de vivre dans la présence aimante de Dieu et d’élever notre esprit et notre cœur vers Lui dans la prière. Dieu est plus proche de nous que nos échecs, nos luttes et nos difficultés dans ce monde. Nous ne sommes jamais seuls ni abandonnés face aux maux de ce monde. Comme Jésus et avec Jésus, nous pouvons toujours prier le Père et faire sa volonté avec plus de constance. En vivant dans la présence de Dieu, nous pouvons aussi accepter nos échecs comme un appel divin à faire davantage confiance à Dieu et à acquérir le tempérament de Jésus. Cela seul nous empêche de nous décourager ou d’abandonner.
Tout comme à notre époque, les premiers chrétiens s’étaient résignés à une vie d’incohérence dans la bonté. Ils faisaient preuve d’hospitalité envers les riches et les influents et les accueillaient parmi eux : « Tu prêtes attention à celui qui porte un beau costume et tu lui dis : “Assieds-toi ici, s’il te plaît.” » Mais ils traitaient les pauvres avec mépris : « Tu dis au pauvre : “Reste là.” » (Voir Jacques 2:1-5). Ils étaient partiaux dans leur traitement des autres parce qu’ils ne voyaient pas leur manque d’hospitalité.
Mes chers frères et sœurs en Christ, Dieu veut que nous fassions toujours le bien et que nous le fassions bien parce que nous sommes ses enfants, rachetés par le sang de son Fils, Jésus-Christ, et appelés à communier avec lui. Grâce à la puissance de cette communion, nous ne pouvons pas nous contenter de faire le bien aujourd’hui et de faire le mal demain. Par sa grâce, nous pouvons nous aussi devenir plus constants dans le bien en partageant le tempérament de Jésus-Christ qui demeure « le même hier, aujourd’hui et éternellement » (Hébreux 13:8).
Chaque Eucharistie est une rencontre avec cet amour constant de Jésus pour nous. Sa grâce en nous pour faire le bien est toujours efficace et jamais vaine. Partageons aussi profondément sa propre disposition afin que nous puissions devenir plus constants à faire le bien et à le faire bien.
Gloire à Jésus !!! Honneur à Marie !!!
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Élever nos prières pour nos familles au Seigneur matin.
Cette ultérieure phase de la prière du matin consiste à prier pour nos familles proches, nos famille, nos connaissances et nos communauté. Nous pouvons prier pour leur bien-être, leur prospérité, leur sécurité, et leur fortune. Nous pouvons également prier pour nos ennemis et pour celles qui nous ont heurtés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur montrer la compassion.
Invoquer pour la bien-être et la sécurité de nos familles.
Dieu tout-puissant, nous autres te confions nos amis, nos propres familles et nos compagnons. Garde, cher Dieu, sur eux, avec préserve -les de tout risque et de toute affliction. Donne, Ô Seigneur, une santé du corps et de l’esprit à eux, et la paix dans leur esprit. Puisses-tu permettre ta guidance omnipotente les protège et les conduise tout au long de cette journée, pour qu’il puissent jouissent dans la sécurité ainsi que la quiétude.
Nous tous à toi prions aussi pour nos propres enfants, Seigneur tout-puissant, afin qu’ils grandissent dans leur foi avec dans l’amour de ton béni nom. Donne, cher Dieu, la sagesse ainsi que la force nécessaires en vue de surmonter les défis de la vie, et aussi dirige leurs pas le long de le chemin de la vérité et aussi de la justice.
Enfin, nous tous te prions en vue de nos amis et nos voisins, Seigneur, qu’ils découvrent la joie de ton amour ainsi que la sérénité de ton pardon. Accorde-leur, Ô Dieu, des cœurs bienveillants pour partager avec ceux qui dans le besoin, et aussi mains accueillantes pour accueillir ceux qui sont seuls ainsi que abandonnés.
Prier pour notre ennemis et ceux qui nous ont offensés.
Seigneur Dieu, le Christ, nous vous prions pour nos ennemis et pour ceux que nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, ta miséricorde et votre pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Seigneur, à leur montrer de la compassion et à leur pardonner comme tu nous as pardonné. Que ta paix règne dans les nôtres cœurs et aussi que votre amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous autres entourent.
Comprendre la prière :
En conclusion, la invocation nous rappelle notre devoir comme enfants de Dieu : se trouver des observateurs de sa lumière et de ses attachement dans une ère en proie aux ténèbres. À travers notre paroles et nos actions, nous diffusons l’Évangile de l’ tranquillité et de la rapprochement, amenant l’espérance et la cicatrisation à un environnement endommagé.
Au sein de l’ spiritualité chrétienne, le lever du jour adopte l’ valeur particulière, symbolisant le renouveau et la renaissance intérieure. C’est au lever du jour de chaque matinée que l’esprit se tourne vers Dieu dans la prière, cherchant à devenir éclairée par la lumière céleste. La pratique des prières matinales s’avère essentiellement enracinée dans le patrimoine chrétienne, proposant un instant privilégié pour se connecter avec Dieu et se préparer mentalement aux épreuves de la journée qui s’annonce.
Au au cœur au sein de ces oraisons matinales se trouve régulièrement une dévotion distincte à l’égard de Marie, maman maternelle de Jésus et icône sainte vénérée par de nombreux fidèles. En tant de médiatrice parmi les hommes et Dieu, Marie reste sollicitée afin de médier en notre nom, nous-mêmes guidant sur le chemin de la sainteté et de la grâce divine. Sa présence maternelle fournit réconfort et abri, enveloppant nos prière matinales d’une délicatesse céleste.
En via l’ prière du matin, on se trouve invités pour nous rallier à Marie dans une approche pour purification personnelle. Dans méditant sur la vie et les vertus, nous recherchons à imiter sa humilité, la pureté et son obéissance à l’ volonté de Dieu. À travers sa sainteté modèle, Marie est pour nous un modèle de vie chrétienne, nous rappelant l’importance de la prière et de la contemplation au sein de nos cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière matinale, dans notre espérance, en nous tournant vers Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde tourmenté par les conflits et la division, optons à la prière comme un moyen de retrouver la sérénité et la réconciliation. Les chrétiens ont la possibilité exprimer un message pour la mère de dieu sur ce lien. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme une offrande agréable à Dieu, pour qu’il guide éclairer nos chemins vers le chemin de la justice et de la vérité. Saint Paul nous exhorte dans ses épîtres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, afin que notre connexion à Dieu reste constante et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité pour changer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
La oraison du matin se trouve être un instant favorisé pour se consacrer vers Dieu avec l’intercession de Marie, en lui sacrifiant nos adorations, nos remerciements et nos intentions les plus profondes. À travers la quiétude du l’aurore, nous sommes invités à tourner envers cette mère sainte, qui on guide avec tendresse sur le chemin de la croyance et de l’amour divin. En unissant nos voix à celle de Marie, on haussant notre prières matinales à le trône du la grâce, sûrs que notre supplications seront entendues et accueillies par le cœur miséricordieux de Dieu.
Prière pour le début de journée avec Dieu et la Sainte Mère
Dieu tout-puissant et plein de miséricorde, en ce nouveau jour qui commence sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à Toi avec cœur rempli de confiance et d’humilité. Que cette journée qui s’ouvre soit consacrée à ton saint nom, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en acte d’amour. Que chaque souffle qui anime mon corps soit un souffle de prière |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Suppliez, que nos prières montent, que nos cœurs implorent, suppliez, que nos esprits s’élèvent.
Tel Marie, la sainte mère qui a porté en son sein l’enfant Jésus, guide-moi dans ce cheminement de foi et de dévotion. Que je puisse, à travers les pages de l’Évangile, découvrir la lumière pour éclairer mes pas et renforcer ma foi. Tel Pierre, donne-moi la puissance et le courage d’affronter les tempêtes de la vie avec une foi inébranlable en ta divine providence.
Durant ce temps de Carême, où les croyants et les croyantes se préparent à commémorer la résurrection de ton fils bien-aimé, octroie-moi, Seigneur, la grâce du réveil spirituel. Que mon esprit soit purifié de tout ce qui le souille, afin qu’il devienne un temple digne de ta présence. Que mes suppliques, inspirée par l’exemple de François d’Assise, résonne comme un hymne de louange à travers les siècles.
Ô Seigneur, que mon quotidien soit imprégné de ta grâce, que chaque instant soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes semblables. Que ma vie soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les supplications de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chaque instant de ma journée dans une ambiance de paix. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Dieu Tout-Puissant, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers autrui. Que toutes mes pensées et mes actions soient conduites par l’Esprit divin, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur cette terre.
Puissent cette journée constitue une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, un moment de grandir dans la foi. Seigneur, possède mon cœur, établis-le comme ton sanctuaire, où ta présence se manifeste à chaque instant. Que chaque pulsation de mon cœur devienne un chant à ta louange, Seigneur, pour l’éternité. Amen.
Pendant le réveil spirituel spiritualiste de chaque âme chrétienne, la supplication a un rôle. C’est la connexion profonde entre le croyant divin et sa mère céleste, la Vierge Marie, la sainte supplie pour le compte de nous devant son divin Fils. À travers la supplication, les fidèles nous introduisons au cœur de la lumière de la parole de Dieu, guidés sous l’Esprit Saint, dans le but de déceler la réalité et la faveur que Jésus nous offre.
Réflexion sur la Parole du Seigneur :
Il nous est possible de pouvons contempler en ce qui concerne un passage biblique qui nous parle de l’amour de Dieu. Par exemple :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. . »
Bibliographie :
Souvenirs de la Basse Cornouaille/Livraison 1/La Croix de Pennéarc’h.,A lire ici.
Les Reposoirs de la procession (1893)/Tome I/Nocturne.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
Les Petits poèmes grecs/Orphée/Hymnes.,Article complet.. Suite sur le prochain article.
Le Roi vierge/Livre 3, 3.,Cliquer ICI.. Suite sur le prochain article.
Isaac Laquedem/Vol. 4/Première partie/La Résurrection.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
Bouquets et prières/Texte entier.,Le post d’actualité.
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